1948- Folklore au Congo belge: Les habitants de Léopoldville invités par le Père Noël au Camp Militaire

« Transportons maintenant l’objectif au Congo belge. A Léopoldville, la population indigène est invitée par le père Noël au camp militaire. Il va sans dire que cette invitation, bien sympathique, est reçue avec grand enthousiasme. Au camp, l’ arbre de Noël a été dressé et les réjouissances commencent. La distribution des cadeaux aux petits noirs ! La joie se lit sur leur visage et, tout ce que Léopoldville compte comme population indigène se presse là où la générosité des autorités belges dispense ses bienfaits. Au camp Otraco, ensuite, pour remercier ce bon Père Noël, les enfants des écoles exécutent une série de danses où le caractère ne le cède en rien à l’originalité. Mais comme toutes les belles choses ont une fin, voici, pour terminer le spectacle des danseuses étoiles du ballet de Léopoldville. Elles ont de la planche, incontestablement ! »
« Transportons maintenant l’objectif au Congo belge. A Léopoldville, la population indigène est invitée par le père Noël au camp militaire. Il va sans dire que cette invitation, bien sympathique, est reçue avec grand enthousiasme. Au camp, l’ arbre de Noël a été dressé et les réjouissances commencent. La distribution des cadeaux aux petits noirs ! La joie se lit sur leur visage et, tout ce que Léopoldville compte comme population indigène se presse là où la générosité des autorités belges dispense ses bienfaits. Au camp Otraco, ensuite, pour remercier ce bon Père Noël, les enfants des écoles exécutent une série de danses où le caractère ne le cède en rien à l’originalité. Mais comme toutes les belles choses ont une fin, voici, pour terminer le spectacle des danseuses étoiles du ballet de Léopoldville. Elles ont de la planche, incontestablement ! »
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