1948- Ici, Radio Léopoldville, ou notre émetteur radio au Congo belge.

« Trop peu de belges savent que, grâce aux émissions de radio de notre station de Léopoldville, des centaines de milliers d’étrangers ont appris à connaître la Belgique et en sont devenus les amis. M. Van Acker, Ministre des Communications, en reçoit chaque jour de nouvelles preuves. Notre émetteur au Congo belge, fort de 50 kilowatts, nous a permis, en pleine guerre, d’écouter les émissions libres partant d’ antennes plantées au coeur même de l’ Afrique noire. Le personnel indigène, anciens marconistes de la Force Publique, joue un rôle important, tandis que la rédaction compose des bulletins d’ informations que le puissant émetteur transmet au monde entier, grâce à sa position équatoriale. Les moyens techniques les plus modernes permettent à la elgique de s’adresser rapidement et, dans diverses langues, aux peuples les plus éloignés. Les indigènes ont leur programme propre tandis que l
« Trop peu de belges savent que, grâce aux émissions de radio de notre station de Léopoldville, des centaines de milliers d’étrangers ont appris à connaître la Belgique et en sont devenus les amis. M. Van Acker, Ministre des Communications, en reçoit chaque jour de nouvelles preuves. Notre émetteur au Congo belge, fort de 50 kilowatts, nous a permis, en pleine guerre, d’écouter les émissions libres partant d’ antennes plantées au coeur même de l’ Afrique noire. Le personnel indigène, anciens marconistes de la Force Publique, joue un rôle important, tandis que la rédaction compose des bulletins d’ informations que le puissant émetteur transmet au monde entier, grâce à sa position équatoriale. Les moyens techniques les plus modernes permettent à la elgique de s’adresser rapidement et, dans diverses langues, aux peuples les plus éloignés. Les indigènes ont leur programme propre tandis que l
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