1947- Décès funérailles et ultime hommage au général Leclerc

 » La France a fait au Général Leclercq d’émouvantes funérailles nationales. Exposé sous l’Arc de Triomphe, comme le fut jadis celui de Foch, le cercueil du Général est couvert de fleurs avant d’être conduit à Notre Dame. Le cortège avance lentement. La foule, le cœur étreint d’une émotion indicible, regarde passer la dépouille mortelle de celui qui fut, avec quelques autres chefs, le dépositaire et le défenseur de l’honneur français. A la sortie de Notre-Dame, posé cette fois sur un affût de canon, le cercueil et son cortège funèbre prennent le chemin des Invalides où le corps du Général reposera désormais. Et partout, sur tous les visages, c’est la même expression de tristesse et de douleur contenue, c’est aussi la consternation d’une foule qui ne comprend pas l’injustice de cette destinée cruelle et imméritée. Devant les Invalides, le triste convoi s’est arrêté. Dans la tribune, le Président Auriol s’associe à la douleur de la France, de cette France dont Leclercq fut l’épée la plus noble et la plus droite aux jours les plus sombres. »
 » La France a fait au Général Leclercq d’émouvantes funérailles nationales. Exposé sous l’Arc de Triomphe, comme le fut jadis celui de Foch, le cercueil du Général est couvert de fleurs avant d’être conduit à Notre Dame. Le cortège avance lentement. La foule, le cœur étreint d’une émotion indicible, regarde passer la dépouille mortelle de celui qui fut, avec quelques autres chefs, le dépositaire et le défenseur de l’honneur français. A la sortie de Notre-Dame, posé cette fois sur un affût de canon, le cercueil et son cortège funèbre prennent le chemin des Invalides où le corps du Général reposera désormais. Et partout, sur tous les visages, c’est la même expression de tristesse et de douleur contenue, c’est aussi la consternation d’une foule qui ne comprend pas l’injustice de cette destinée cruelle et imméritée. Devant les Invalides, le triste convoi s’est arrêté. Dans la tribune, le Président Auriol s’associe à la douleur de la France, de cette France dont Leclercq fut l’épée la plus noble et la plus droite aux jours les plus sombres. »
Explorez Belgavox
Retour haut de page